Site internet en maintenance ...


Association Loi 1901 , Informer sur la problématique générée par la lésion crânio-encéphalique acquise.
Développer des actions de prévention, de formation et de recherche.
Sensibiliser les pouvoirs publics.
Améliorer la reconnaissance, le prise en charge et la défense des personnes cérébro-lésée

association@handicap-invisible.fr

Pourquoi parler de Handicap Invisible ?

Parce que les personnes qui en sont affectées sont ignorées ou mal reconnues dans leurs situations de handicap, celles-ci échappant à un observateur non averti.
Cela provoque des difficultés relationnelles.
Les personnes victimes d’un traumatisme crânien souffrent de troubles souvent bien difficiles à évaluer par les professionnels et leur entourage.
Ces troubles entraînent des difficultés d’orientation dans le temps et dans l’espace, des pertes de mémoire et infèrent leur faculté d’initier et de réaliser des actions.
Tout cela influe insidieusement sur leur vie quotidienne.
Les modifications de la personnalité de ces victimes opèrent un bouleversement de leur caractère et dans leur comportement.
Cela s’avère déroutant car ces changements induisent un dérèglement de leur vie.
Pour les professionnels et les familles concernés, les contrecoups de ces modifications sont mal explicités et font parfois l’objet de jugement à l’emporte-pièce.
Vivre avec ses pertes et ses manques se révèle, pour la victime, difficile à communiquer.
Cela crée des malentendus parfois insoupçonnés et révélateurs d’une vraie ignorance de la part de son entourage.
Pour toutes ces raisons, la victime d’un traumatisme crânien éprouve des multiples difficultés à obtenir la reconnaissance de ses situations de handicap réelles.
Cela s’appelle le handicap invisible. Si ce concept de handicap invisible est complexe, il ne peut être un prétexte pour en négliger sa réalité.

Objectifs et méthodes

Cette association est dédiée aux professionnels du soin et de l’expertise des personnes victimes d’un traumatisme crânien, une communauté de personnes qui souffrent d’un manque sévère de visibilité.
La notion de handicap invisible s’applique à des situations de handicap différentes qui correspondent à des altérations cognitives, psychiques et /ou sensorielles.
Cette diversité dans l’approche des situations de handicap à évaluer rend son expertise complexe. Et la reconnaissance juridique des pertes d’autonomie des victimes s’avère délicate à apprécier.
Le premier volet d’action de Handicap Invisible porte sur la formation et l’information des personnels de soin et de rééducation.
Le second volet va se concentrer sur l’accompagnement social et juridique de la victime d’un traumatisme crânien.
Le nombre de traumatisés crâniens est croissant. Il est issu aux deux tiers d’accidents de la voie publique, donc indemnisable en grande partie (car existe alors un tiers responsable).
Bon nombre des victimes de traumatisme crânien est en déshérence thérapeutique et leurs prises en charge, après diagnostic et les soins d’urgences, manque singulièrement de coordination.
L’association Handicap Invisible regroupe des médecins, des psychologues, des avocats, des juristes et des représentants de l’État qui souhaitent pallier ces carences publiques.